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Modératrice : Céline Barthonnat, éditrice, Centre Alexandre-Koyré
La nécessité de référencer les publications en série (revues, collections) est partagée par nombre d’acteurs de l’IST issus des métiers de l’édition ou de la documentation. Mais que l’on soit éditeur de la revue, bibliothécaire ou lecteur et les objectifs varient !
Selon l’angle choisi, l’attention se porte alternativement sur le projet éditorial de la publication, sa valeur scientifique, sa place dans l’histoire des idées et des disciplines, sa diffusion, son/ses accès en ligne, son modèle économique, etc.
Ainsi, être signalé dans les catalogues de bibliothèques ou les répertoires de revues, signaler les accès aux contenus numériques libres ou restreints, intégrer les classements HCERES ou les bases de données de référence, déclarer sa politique en matière d’accès ouvert, etc. sont autant de processus différents et complémentaires qui favorisent la visibilité d’un titre au bénéfice du plus grand nombre. À l’ère de la science ouverte (open science) et dans le contexte de la loi numérique en France, cette volonté de référencement et de visibilité est primordiale.
Dans le cadre de cette table ronde, il ne s’agit pas de refaire un débat sur les critères d’analyse ou de classement des revues, mais que chacun dise ce qui lui importe de CONNAÎTRE, VOIR, FAIRE via les multiples possibilités de référencement. À partir d’un état des lieux et de quelques initiatives, les échanges devraient contribuer à une meilleure compréhension des enjeux liés au référencement et à une meilleure connaissance de l’écosystème des revues.
Animée par : Stéphane Renault, Coordinateur éditorial des supports de publication et de valorisation du laboratoire méditerranéen de préhistoire Europe Afrique et responsable du réseau MEDICI, et Sophie Aymes, Maître de Conférences à l’Université de Bourgogne, co-directrice de la revue Interfaces
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